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Sous la lune exactement

Demain sera pour moi un jour très particulier. Une porte ouverte vers de nouveaux embranchements, de nouveaux chemins, professionnels. Saurai je la franchir ?

Ce billet aussi est particulier : c’est le 600ème que je publie depuis l’ouverture du blog et je n’aurai jamais cru que cette aventure m’entrainerait aussi loin, avec une pensée particulière pour  Home, qui m’a dit récemment toujours passer par ici :-).

L’accélération du monde étant ce qu’elle est je suis plus actif sur fetlife et facebook à présent, mais il me tient à coeur que ce blog perdure au fil des lunes… Heidi a encore des choses à dire. Des choses importantes :-)

 .
Pleine lune à 20h41 :-)

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Lune de coquelicot

C’est amusant comme cette photo me rappelle les débuts du bog de Heidi, lorsque la blogosphère bruissait du murmure des didascalies courant de blog en blog, comme des feux scintillants au sommet des collines de silicium. C’était il y a longtemps, presque neuf ans jours pour jour, avant la grande migration vers les réseaux sociaux… Je n’ai pas de nostalgie pourtant, seul importe le présent…
et que la fleur éclose, aussi, sous la lune et les étoiles

Pleine lune ce soir à 23h43

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Sous le signe du bambou (2)

J’ai réalisé récemment que j’ai un problème de communication. Ca a commencé avec plusieurs séances de cordes décevantes, comme celles que j’évoquais dans mon billet précédent… Des séances inabouties, avec une sensation d’incomplétude à la fin…

Puis j’ai eu un problème de communication avec une belle personne rencontrée autour du tournant de l’année…  Une difficulté qui a pu s’aplanir fort heureusement grâce à l’intervention d’une bonne fée, témoin de la situation, qui m’a fait part de son malaise et de ses interrogations…

On a parlé de beaucoup de choses et l’une d’entre elles concerne ma pratique des cordes… Je réalise que je ne sais pas entendre ma partenaire lorsque je fais des cordes. Ce n’est pas que je ne sache pas en fait, c’est plutôt que j’ai du mal à l’entendre, comme si mon esprit zappait simplement le message, ou le faussait et l’évacuait en l’interprétant de travers… Jusqu’à ce que le message devienne clair et net… A partir de ce moment j’entends ce qu’on me dit, mais il y a une dissonance, voire un malaise, qui a eu le temps de s’installer…

Je pense à cette jeune femme qui m’avait dit avoir mal à l’épaule. Je pense à celle qui m’a dit un jour qu’elle était fatiguée. Je pense à celle qui m’a dit qu’elle avait le vertige en l’air… pourquoi diable l’ai-je suspendue quand même et les yeux bandés en plus ? Jusqu’à ce que je doive la descendre car elle se sentait nauséeuse…

Je veux dire… faut être idiot pour faire des trucs pareils !
C’est pas la fin du monde, et la situation s’est à chaque fois réglée, mais c’est juste tellement dommage. J’y vois autant d’occasions ratées de passer un bon moment, harmonieux, abouti… d’aller au bout de l’expérience des cordes, et je sais la perfection qu’elle peut atteindre parfois…

Dorénavant avant de commencer une séance je préviens mes partenaires que je suis parfois un peu autiste sur les bords et leur demande d’exprimer haut et fort ce qu’elles ressentent. La bonne fée m’a expliqué que dans une société genrée comme la nôtre les femmes sont incitées, dès le plus jeune âge, à exprimer discrètement ce qu’elles ressentent… C’est très possible en effet et j’y vois une raison supplémentaire pour dynamiter le truc, la première à mes yeux étant que ça n’arrange pas du tout mon problème d’audition…

Je leur demande également de me prévenir si elles ne se sentent pas entendues. C’est un peu l’équivalent du safeword en SM… sauf que là ça concerne les limites : un bouton d’arrêt d’urgence qui signifie : « Hé ! Tu ne m’entends pas », et là on arrête et on débriefe le play…

J’ai eu l’occasion d’utiliser ce protocole plusieurs fois au cours du dernier week-end et ça s’est à chaque fois très bien passé… C’est curieux, car c’était dans un lieu public, et il y a quand même eu un incident sur une suspension en fait : une intervention externe hautement improbable – quelqu’un qui nous a aspergés de biseptine en pleine session… Le genre de truc qui n’arrive jamais. Je m’étais demandé pourquoi ça arrivait précisément à ce moment là et avec le recul j’y vois une validation de cette nouvelle façon de procéder…car le fait est que j’ai très bien su gérer la situation…

J’espère faire encore beaucoup de cordes cette année. J’espère bien aussi ne jamais avoir besoin du limit-word, et pas seulement en 2017…

Ce billet je le dédie tout particulièrement à cette bonne fée, et à toutes les merveilleuses partenaires de cordes que j’ai rencontrées sur mon chemin…

Je le dédie aussi à ceux et celles à qui j’ai dit non à un moment. Ce n’était pas par rejet de leur personne mais simplement pour pouvoir avancer dans ma quête. Si je perds du temps lorsqu’il n’y a pas d’alchimie, ou pas d’envie, ou pas d’intensité, comment pourrais-je espérer rencontrer les personnes avec qui ces ingrédients essentiels sont présents ? Et j’avoue avec joie que la seconde partie de l’an écoulé m’a amplement confirmé le bien-fondé de ce principe :-)…

Ca aura été ma grande affaire de 2016 ça : apprendre à dire non…

En 2017 je veux apprendre à dire oui :-)…

Je vous souhaite à chacun-e, qui honorez ce blog de votre passage, au fil des lunes, une belle et merveilleuse année 2017 :-)

 (Photo by Hersey)

Pleine lune demain à 13h34

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A l’arrière des berlines…

Nous sommes au restaurant, l’horloge a tourné… il reste moins de 2 heures avant le train qui doit me ramener dans le sud… et dans ce laps de temps je dois encore récupérer mes bagages dans un lieu situé à une soixantaine de kilomètres de là…

Je regarde mon hôtesse d’un air navré… Bien sûr j’avais emporté mes cordes lorsque nous étions partis en  balade le matin  (il faut toujours avoir des cordes sur soi), mais là je réalise que nous n’aurons même pas le temps de jouer sous un arbre accueillant le temps d’une pause sur le chemin retour…

La belle m’envoie un regard malicieux depuis la banquette arrière de la voiture. Il y a des étincelles qui pétillent dans ses beaux yeux grands ouverts… Elle dit son désir là, tout de suite… Maintenant.
Le conducteur de la voiture, un vieux Monsieur tellement chouette que j’espère bien être comme lui quand j’aurai son âge, nous dit que ça ne lui pose pas de problème.

Je me faufile entre les sièges. Elle a déjà extrait les cordes du sac… me tend ses jolies menottes fines avec le plus beau des sourires. La corde glisse et s’enroule sur son corps émouvant, suit ses courbes serpentines, de concert avec le chemin qui file dans ce beau vignoble de Bourgogne,  Peu à peu la belle s’étire, se tend, se pare, telle une fleur sur le point d’éclore… Il n’y a que nous dans notre bulle, et je la rejoins dans l’immanence de l’instant…

Je ne connais pas de mots pour décrire ce que j’ai ressenti à ce moment là… Avec le recul je réalise que Je l’ai mise dans une position d’exhibition dans cet habitacle exigu serti de vitres… Rien de prémédité, juste l’inspiration du moment… Ou était ce la corde qui nous dictait sa vérité, telle le calame du scribe dans la glaise fine et tendre ?

J’ai attaché sa tête contre ma cuisse, et lui ai longuement caressé le visage… Autour de l’habitacle filant à 130 km/h sur l’autoroute, les voitures, les camions semblaient glisser au ralenti… Mais en avait elle seulement conscience… ma délicieuse Joséphine ?

Je l’ai libérée très doucement, une descente toute en massages et caresses tandis que nous nous approchions du point d’arrivée… Nous étions calmes et silencieux, tellement immobiles que le conducteur a jeté un regard en arrière, comme pour s’assurer que tout allait bien… La belle émergeait doucement de sa rêverie de jute… Il a ramené son attention sur la route. De profonde la paix est devenue absolue… Jusqu’à l’arrivée…

Ce fut un immense moment de tendresse et de partage… Un moment de joie aussi, et un moment qui a beaucoup de sens pour moi enfin…

C’est amusant qu’il se soit produit à Dijon… une ville qui demeure pour moi une source de moments inoubliables, le lieu de tous les possibles… Ceci étant posé il est très clair que cette vérité, et quelques autres en sus, s’applique tout autant à la délicieuse jeune femme qui m’a fait vivre ce moment… ô Muse

Merci, merci, merci ! :-)

 

Pleine lune à 23h44

 

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Savoir dire non

Il y a quelques années j’ai participé à un atelier sur le « savoir dire non » lors du festival Xplore Paris (excellent rendez vous consacré aux sexualités créatives et à la communication sensuelle, devenu entre-temps Erosphère, auquel j’espère bien assister derechef). Le principe de l’atelier était simple : une cinquantaine de personnes rassemblées dans une salle. Un participant sur deux se fait bander les yeux avec pour consigne de dire non à chaque fois que quelqu’un le touche… Au bout d’un moment on inverse les rôles et ceux qui avaient les yeux bandés devenaient eux même passants caressants.

Dans un premier temps il fallait dire simplement non, sans y mettre d’intonation particulière… Ca a duré 10 minutes environ, puis dans un second temps il fallait dire non avec davantage d’énergie… Et là j’ai senti monter une curieuse agressivité en moi, comme si quelque chose se libérait en moi… Dans un troisième temps on pouvait laisser éclater sa colère… Tout devenait permis, y compris attraper la personne qui vous avait touché… Et là je me rappelle avoir assisté, et participé aussi ;-), à des scènes étonnantes…

Le plus surprenant était qu’en laissant filer mes émotions, tandis que j’avais les yeux bandés, je réalisais qu’il y avait des contacts qui ne me donnaient pas du tout envie de dire non… bien au contraire même… Je continuais à dire non car c’était la consigne, et je suis un garçon très consciencieux, si, si ;-), mais tout en moi me portait à dire oui…

Paradoxalement c’est là que j’ai réalisé toute la valeur du oui… C’est idiot mais je n’avais jamais mesuré à quel point un oui peut être profond et sincère avant d’apprendre à dire non…
Ca a été pour moi une des expériences les plus marquantes de ces dernières années, et les plus formatrices également…

A l’époque j’en avais écrit ces quelques lignes

(..) Pour ce qui est d’Xplore j’en retiens avant tout l’apprentissage du non… Quelque chose que j’ai toujours eu du mal à faire car je n’aime guère être celui qui refuse… Cette attitude part d’une bonne intention, mais il se murmure que l’enfer en est parfois pavé, et je m’autoriserai dorénavant à poser des limites avec, je l’espère, élégance et délicatesse…

Ca m’a aussi permis de mieux accepter de ne pas plaire parfois… Au cours des ateliers Il m’est arrivé de croiser des gens qui ne souhaitaient manifestement pas entrer en contact avec moi… En temps normal ça m’aurait blessé, mais là il suffisait d’aller vers quelqu’un d’autre et ça finissait toujours par déboucher sur un échange… Une grande leçon pour moi…

En corollaire j’en déduis que j’ai moi aussi le droit de refuser un contact qui ne me conviendrait pas… Parce que dès lors que je ne plais pas à tout le monde pourquoi est-ce que tout le monde devrait me plaire ?… (…)

J’a été confronté à ce cas de figure récemment… Une rencontre de cordes où je n’ai rien ressenti de particulier… La demoiselle était charmante pourtant, une personne affable et agréable, plaisante. Pourtant l’alchimie n’était pas au rendez vous. Je ne saurais dire à quoi ça tenait… et en fait ça n’a pas tellement d’importance tant il est vrai que seul le ressenti fait loi en ce domaine…

La demoiselle avait beaucoup aimé et ça m’a fait de la peine de lui dire que quelque chose n’avait pas fonctionné de mon côté et qu’on ne pouvait pas continuer à se voir… Mais je sais que j’ai fait ce qu’il fallait… Subie ou infligée c’est la règle de ce type de rencontre et si l’on n’est pas disposé à l’accepter mieux vaut se trouver une autre occupation…

Et surtout à quoi bon nouer une relation qui ne serait pas le fruit d’une envie partagée ?…
Sans préjuger de l’envie de l’autre pour ma part j’espère simplement que, lors de ma prochaine rencontre, tout en moi me portera à dire oui, encore !…

Parce que rien ne vaut la durée pour nouer des liens :-)

 

Pleine lune demain à 13h05…

 

;-)

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ce qui est à toi, ce qui est à moi…

Ces jours ci je pense souvent à cette dépression que j’avais faite il y a très longtemps… 4 ans de galère au tournant de la vingtaine, que je raconte ici, dans ce billet qui date des débuts du blog…

Avec le recul je réalise qu’à l’époque j’avais tout pris sur moi… Si ça n’avait pas marché c’était forcément de ma faute… que je ne valais pas tripette, que je ne méritais aucune considération, que je ne pouvais m’en prendre qu’à moi… Je ne crois pas avoir formulé les choses ainsi à l’époque… mais implicitement j’avais intégré cette donnée… et j’ai vécu avec pendant plus de 20 ans…

Puis, il y a quelques mois j’ai réalisé que si ça n’avait pas marché c’était aussi, surtout, parce que j’avais eu une gamine immature en face de moi, qui avait préféré disparaître sans un mot plutôt que de dire simplement non merci mais ça ne m’intéresse pas, ce qui était son droit le plus strict…

Une hstoire s’écrit toujours à deux… Après la difficulté c’est de savoir ce qui relève de l’un et de l’autre…

J’ai longtemps refusé toute idée de vie en couple parce que je ne supportais pas l’idée d’être responsable du bien être de l’autre. Ca me semblait être un poids écrasant, une charge insurmontable. Avec le temps j’ai fini par comprendre que c’est précisément le genre de pensée qui empêche toute relation : se dire qu’on est responsable du bien être de l’autre… ou inversement compter sur l’autre pour assurer son propre bien-être… et ça aussi c’est une erreur que j’ai trop commise… attendre de l’autre qu’il assure mon salut… Ca m’a accompagné toute ma vie d’adulte je crois… le fol espoir d’une main tendue qui effacerait tout mes soucis… mais que l’on vive seul ou accompagné on n’est jamais responsable que de son propre bien-être…

J’ai compris ça l’an dernier, à peu près au moment où je réalisais… que j’avais eu une gamine immature en face de moi… il y a 27 ans…

C’est Carl Gustav Jung qui disait que nul ne peut avoir de relation avec l’autre s’il n’en a pas d’abord une avec lui même, et plus j’avance plus je mesure à quel point c’est vrai.
Après je crois aussi que quand deux âmes se trouvent il se produit quelque chose, une alchimie qui fait grandir et franchir une marche. Et là ça devient carrément magique…

Pleine lune ce soir à 20h37

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Heidi s’offre un temps de contemplation


Windhover Contemplative Center
… En un lieu propice

Zep… s’élancer vers l’infini

Shae de Tar… Plonger en couleur

 

Couleurs… Crème et azur
Humeur… songeuse

(Shae de Tar)

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Le jour d’après…

Apres 4 jours incroyablement intenses j’ai l’impression d’avoir fait quelques progrès…
En attendant la suite il n’y a plus qu’à changer le tapis de sol et racheter des cordes…

Et trier les photos aussi…

Pleine lune cette nuit à 0h09 :-)

 

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Following the line

C’est amusant il y a un an je m’étais dit que 2014 serait l’année des cordes et de la soumission…
J’ai fait plus de cordes l’an dernier que pendant toutes les années qui ont précédé et j’espère bien en faire encore davantage pour l’an qui vient… Bah oui… on encorde on encorde puis on y prend goût, même si plus j’avance et plus je mesure l’étendue de mon ignorance… J’ai fait de jolies rencontres via les cordes cette année, dont certaines, je l’espère, sont appelées à durer.

Pour ce qui est de la soumission ma foi… disons que d’une certaine manière ça a été l’année de la soumission… c’est juste que je ne pensais pas que ça se passerait de l’autre côté du manche pour moi. C’est quelque chose qui est assez neuf et qui a un vrai goût de reviens y… Je trouve ça très amusant et très ironique aussi, mais c’est vrai que c’est un cas très particulier, et que je ne suis pas à une contradiction près ;-)…

Ma belle rencontre de l’an dernier n’a pas fonctionné comme je l’espérais, mais ça reste une belle rencontre qui m’a beaucoup apporté et confirmé que tout ce qui n’est pas donné est perdu. J’ai compris aussi que tout ce qui est donné est gagné. Et rien que pour ça ça en valait la peine.

Professionnellement j’ai un peu la nostalgie de mes chères forêts du Jura ces jours ci… J’ignore ce que me réserve l’année qui vient, mais je sais que j’ai tout ce qu’il faut pour faire face. Haut les coeurs, donc…

Il y a eu de belles rencontres et de belles retrouvailles aussi, et pas seulement shibariques… J’ai par exemple souvenir d’un barbecue dans le parc d’un château l’été dernier…
Il y a également ceux que je n’ai pas revu depuis longtemps mais que je porte dans mon coeur… Même loin, même dans le silence, le mien parfois, ils demeurent présents,

Si j’en crois les stats il y a encore un peu de passage sur le blog de Heidi… Alors à vous également qui osez encore vous aventurer hors des autoroutes balisées des réseaux sociaux et honorez ce petit coin des prairies de silicium de votre passage, et de vos mots parfois…

A chacun je souhaite une année 2015 pleine de partages et de découvertes. Une année heureuse et prospère, riche et intense, constructive, féconde, surprenante, pétillante…
Une très belle année :-)

Un petit scoop aussi… Un aboutissement et un commencement tout autant, pour célébrer l’an neuf…

Merci à la jolie modèle :-)

Pleine lune à 5h53

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En route…

Cette nuit c’est le solstice. A partir de demain les jours commenceront à rallonger et moi, moi je m’en retourne au bercail, quelque part entre Rhin et Vosges, retrouver des lieux et des visages amis qui m’ont beaucoup manqué ces jours ci.

Je n’y étais pas retourné depuis l’été dernier, lorsque j’avais fait ces photos avec celle qui fut ma première instructrice, mon premier passeport pour les cordes…

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A l’époque elle m’avait vraiment fait gravir une marche.  J’en ai franchies d’autres depuis et à l’heure où je viens d’achever une série de cours qui m’ont donné les bases nécessaires aux suspensions je pense à tous ceux qui m’ont aidé, les modèles, les encordeurs, les référents… et tous je les remercie…

Solstice cette nuit à 0h02

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