L’airial désigne, dans les Landes de Gascogne, une clairière au cœur du massif forestier, regroupant quelques maisons et leurs dépendances…

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Le paysage de l’airial tranche avec celui de la forêt des Landes : les pins cèdent la place à un espace de pelouse ouvert sur lequel se dressent quelques chênes, souvent centenaires. Les airiaux d’un même village constituent ce que l’on appelle le «quartier», petit hameau isolé et à l’écart du bourg…

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Planté de feuillus (chênes tauzins, châtaigniers, arbres fruitiers) et parfois d’un pin parasol symbolisant la propriété, il est ouvert à la circulation des hommes mais aussi des animaux de la ferme qui le fertilisent…

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Du temps de la lande dénudée il pouvait constituer un îlot de boisement au milieu de la lande marécageuse et désertique. Cette situation favorisée y attira de petites communautés développant un mode de subsistance agro-pastoral. Ce modèle commence à péricliter au XIXème siècle avec la plantation de pins maritimes, pour disparaître au lendemain de la Seconde Guerre mondiale…

(D’après wikipedia  )

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D’îlot il devint clairière en somme… Et pour ajouter une touche personnelle à ce billet hautement culturel je préciserai simplement que c’est plein de champignons autour ;-)

(Cèpes de pin… excellent comestible ;-)

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 doigt de miel