Ce qui est en haut

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Un 28 décembre au sommet des Vosges. Enfant c’est ici, au Grand Ballon, que j’ai appris à skier. On y venait chaque dimanche à partir de début décembre. Les anciens disaient souvent qu’il y avait moins de neige qu’avant. A l’époque ça semblait tellement inconcevable !

Pleine lune cette nuit à 0h09
Et une très bonne année à vous qui passez par ici :)

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Carnet de bord

J’étais en train de La ramener chez Elle après un atelier de cordes. Je Lui ai demandé si Elle ne voyait pas de problème que je l’appelle Maîtresse comme je le faisais depuis notre jeu de la semaine précédente. Elle m’a dit qu’au contraire ça lui plaisait beaucoup, et que je pouvais me considérer comme son soumis.

Naturellement c’est contraire à la règle qui veut que ce soit la·e soumis·e qui en fasse la demande, mais justement Elle m’a aussi dit qu’Elle ne veut pas de règles, ni de contrat et je m’en voudrais beaucoup d’aller contre Sa volonté.

Elle a ajouté qu’elle ne savait pas où ça mènerait. Je lui ai proposé de le découvrir ensemble. Sa réponse a fusé aussitôt, comme une évidence
– Avec plaisir !

(Ho ! Merci Maîtresse !!! 🤗)

Pleine lune à 5h08

( Photo : Dan The Ripper )

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Fleur de roche

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Pleine lune à 12h01

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Des travaux et des jours

Merci aux délicieuses Tess, Mel, Yemanja et Ann’O’Nîmes de se prêter à mes cordes <3
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Pleine lune à 22h53

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Fin août, début septembre

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Pleine lune à 11h58

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Sur l’écologie

L’écologie est une science qui étudie les interactions des être vivants entre eux et avec leur milieu. L’ensemble des êtres vivants, de leur milieu de vie et des relations qu’ils entretiennent forme un écosystème.

La niche écologique correspond au rôle d’un organisme dans le fonctionnement de l’écosystème. Elle se caractérise par les paramètres physico-chimiques du milieu et l’ensemble des interactions avec les espèces avoisinantes ainsi que les modifications apportées à l’habitat.
« Si l’habitat est le lieu de vie d’un organisme, la niche est sa profession »

Un écovillage est une agglomération rurale ayant une perspective d’autosuffisance. Le principe de base est de ne pas prendre à la terre plus que ce qu’on peut lui retourner. Les modes de culture alternatifs, inspirés par l’agroécologie, y sont mis en oeuvre.

Aujourd’hui j’ai visité un écolieu. Ses habitants le définissent comme un espace qui répond aux besoins des humains, tout en améliorant la biodiversité et la fertilité des sols… Ils ont acheté ce lieu pour le mettre en culture et y vivre, eux et leurs familles. Ils restaurent la maison selon des principes d’éco-construction pour en faire un lieu confortable et agréable tout en s’impliquant dans la vie locale. Avant d’installer des panneaux solaires ils ont choisi de commencer par voir dans quelle mesure ils peuvent se passer d’électricité dans certaines pièces. Je crois que c’est cette dernière démarche qui m’a le plus séduit. Ils travaillent sur les comportements plutôt que sur les techniques. Pourtant ils n’ont rien d’amish comme dirait l’autre. Ce sont des innovateurs au meilleur sens du terme, et ils sont là pour guérir.

Pendant la visite j’ai pensé au tout premier billet de ce blog, il y a déjà tout un tas d’années. Tout à coup j’ai senti que le processus de guérison se poursuit et s’amplifie malgré le chaos qui s’empare du monde, et c’était plutôt réconfortant.

Pleine lune cette nuit à 3h35

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Sur la civilisation

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Arrêtons nous un instant sur le mot « civilisation » (…). A bien y réfléchir le sens qu’on lui donne aujourd’hui est assez curieux. En effet, la plupart des gens, quand ils parlent des premières civilisations, ont en tête (des sociétés) comme l’Egypte des pharaons, le Pérou Inca, le Mexique aztèque, la Chine des Hans, la Rome impériale, la Grèce antique, plus quelques autres caractérisées par la vastitude et le monumentalisme. Toutes étaient des sociétés stratifiées dont la cohésion reposait prioritairement sur le pouvoir d’un gouvernement autoritaire, le recours à la violence et la subordination totale des femmes.

Derrière cette conception de la civilisation se tapit la notion de sacrifice – le sacrifice de nos libertés élémentaires, mais aussi le sacrifice de sa vie au nom d’un objectif toujours inatteignable (…). Comment s’étonner dès lors que, dans certains cercles, l’idée même de civilisation soit désormais discréditée ? Il est évident que quelque chose de fondamental est allé de travers.

Une partie du problème vient de l’équivalence qui a été établie entre civilisation et vie urbaine, puis entre ville et état (or) cette équivalence ne se justifie pas sur le plan historique et pas davantage sur le plan étymologique. « Civilisation » dérive du latin « civilis », un terme qui renvoie aux vertus de sagesse politique et d’entraide qui permettent aux sociétés de s’organiser sur la base de la coalition volontaire. Or ces vertus sont bien mieux représentées dans les ayllus andins ou les villages basques qu’à la cour inca ou chez les souverains Shang. Si l’on considère que c’est l’entraide, la coopération sociale, la participation citoyenne, l’hospitalité ou même simplement le souci de l’autre qui font la civilisation, alors son histoire reste presque intégralement à écrire.

(…) Cette histoire profonde de la civilisation se lit dans les vestiges physiques qu’ont laissés des formes communes de vie domestique, de rituels et d’hospitalité (…). Des groupes de taille modeste ont fondé aux quatre coins du globe des civilisations au vrai sens du terme, c’est à dire des communautés morales étendues. Ils n’ont pas eu besoin de souverains permanents, de bureaucrates professionnels, ni d’armées de métier pour faire progresser la connaissance (…)

(Au commencement était… ; David Graeber et David Wengrow ; 2021)

Pleine lune à 20h37

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Préparatifs

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Ce n’était pas un critère, ni même un souhait particulier lorsque je cherchais un endroit à acheter, mais c’est clair que la présence d’une piscine a joué lorsque je me suis décidé. Je ne savais pas que ça prendrait autant de temps de refaire les joints, ni même qu’il faudrait les refaire d’ailleurs, mais à l’arrivée quelle joie de pouvoir piquer une tête en rentrant le soir !

Je m’interroge tout de même sur la pertinence écologique de l’équipement, notamment sa consommation d’eau et d’énergie. Il y a là clairement une contradiction à résoudre. C’est d’ailleurs étrange, voire ironique, que je me retrouve face à un tel questionnement. Ceux qui connaissent mon histoire comprendront je pense ;-).

J’ai quelques idées mais aucune réponse à ce stade. Ca viendra.

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En attendant, pleine lune à 13h51
(et plouf, donc ;-)

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Creative Commons License Kann Danns

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Voyage au centre de l’univers

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Pleine lune, et éclipse totale, à 6h15
(faites un voeu ! :-)

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Fin mars, début avril

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Pleine lune à 20h56,

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