J’ai très vite senti qu’on était sur la même longueur d’onde… Il y a des choses comme ça qui ne s’expliquent pas… Elle devait en penser à peu près autant car notre conversation a progressivement glissé vers des sujets pour le moins orientés…
– Et juste par curiosité, tu me verrais comment si tu m’attachais ?
– Je t’imaginais assez bien torse nu (il faut dire qu’elle a une très jolie poitrine)
– Ah non là ça va pas être possible…
(…)
– Mais j’ai quelques tenues s’empressa-t-elle d’ajouter
(Grand sourire jusqu’aux oreilles ;-)
Je la revois un peu plus tard devant moi, debout sur ses escarpins, la tête basse et fière pourtant jusque dans sa reddition, un bandeau sur les yeux, la taille enserrée dans un joli corselet, haletante…
Il y a quelque chose de divin dans le fait de glisser un doigt sur une
culotte trempée de joie, de le sentir s’enfoncer légèrement à travers
le tissu dans quelque chose de chaud, de doux, d’humide… Comme une
éponge qui vous absorberait sans même que vous vous en rendiez
compte… Impression de toucher le bonheur du doigt…
Je l’ai fait mettre à genoux pour lui présenter le collier… Je ne savais pas à ce moment là que je le lui offrirais au moment de nous séparer… C’était bien le moins que je puisse faire en souvenir de ces merveilleux moments passés ensemble…
Elle s’est bien défendue pourtant… la belle voulait bien qu’on la fesse et la fouette, mais se mettait à ruer à chaque fois que mon doigt s’approchait de son petit oeillet… Je ne lui voulais pas grand mal pourtant ;-)
Je ne sais pas ce qu’aurait fait un vrai dominant à ma place (bah oui… normalement je suis plutôt de l’autre côté du manche ;-), mais pour ma part j’ai préféré déposer le martinet, assez copieusement utilisé il est vrai, et apaiser le feu de sa peau rougie à la pointe de ma langue… Elle s’est ouverte comme une fleur, m’offrant la pleine jouissance de ses trésors cachés en émettant de petits sons absolument charmants… Comme quoi on obtient toujours bien plus avec de la douceur…
Ce fut une nuit très tendre, caressante, enivrante… Je devinais son sourire dans la pénombre des bougies… Une demoiselle très coquine et sensuelle assurément… Je n’en avais jamais connu d’aussi sensible des seins… Avec cette sensation étonnante de la voir grimper au ciel à chaque fois que mes doigts, ou mes lèvres, se refermaient sur ses petites pointes érigées, gorgées de désir. Il n’est d’ailleurs pas du tout impossible que j’en aie un peu abusé ;-)
Elle a retiré son corset très tard dans la soirée, presque à regrets, en m’expliquant qu’elle adorait le porter pendant des heures… Je lui ai fait remarquer que le laçage n’en était pas non plus trop serré…
– Ce n’était pas à moi de le vérifier, m’a t elle dit avec un sourire moqueur…
Je n’ai rien dit, mais je m’en souviendrais pour notre prochaine rencontre… et il n’est pas exclu qu’elle s’en morde un peu les doigts ;-)…
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doigt de miel
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